Description
Depuis son premier album "De verre en vers" paru en 2003, dans lequel on retrouve ce bijou Dimanche (Caresse-moi), Jamait nous enchante de sa plume à la fois poétique et populaire, car il est sûr que ces deux mots ne sont pas contradictoires. La solitude, les bars, la culture ouvrière, l'amour, la séparation ou les soirs de cuite sont des thèmes récurrents de cet artiste dont on dit qu'il "transforme les vicissitudes de la vie en hymne pour les humbles". Véritable encyclopédie de la chanson française, l'auteur compositeur dijonnais propose une vraie poésie en musique à l'instar de ceux qui l'inspirent ou avec qui il partage la scène (Maxime Le Forestier, Allain Leprest, Aldebert et beaucoup d'autres). A découvrir de toute urgence !
Commentaires techniques
Voici une harmonisation écrite pour le Grand choral 2014 dans laquelle le pupitre d'alti est utilisé comme un instrument mélodique, qui traduit musicalement la détresse du chanteur interprète. Pas de texte donc, mais de jolis contre-chants à chanter avec lâcher prise et précision, pour nos femmes à la voix grave et chaude, qui détiennent un rôle charnière dans l'arrangement... Seul le deuxième refrain homophonique propose le texte aux alti, sur une note répétée. Les deux couplets présentent le texte à l'unisson entre les hommes (principalement les basses) et les sopranes, unisson pour lequel chacun devra préciser sa prosodie et sa prononciation pour viser homogénéité et intelligibilité. La longueur de cette chanson obligera à relancer sans cesse pour éviter la lassitude et maintenir l'interprétation.