Description
Depuis 2002, Vincent Delbushaye, artiste belge formé aux Ateliers de la Chanson de Bruxelles, sillonne les routes de la francophonie avec son piano et son répertoire à la fois intimiste et facétieux. Entre deux scènes, il prend le temps d'enregistrer trois albums : "Pas trop fort", en 2006, un opus piano-voix salué par les critiques et proches de l'intimisme de ses concerts, "Ce qu'il faut que je sois", en 2012, résolument plus pop et aux textes parfois plus graves et "J'attends" en 2017 sur lequel figure Ta mère. Cette chanson aux allures de pamphlet anti belles-mères envahissantes, nous propose une ribambelle de stratégies pour en venir à bout. De la plus simple à la plus saugrenue, à vous de choisir celle qui vous conviendra le mieux ou pourquoi pas d'en imaginer d'autres encore ...
Commentaires techniques
Cette chanson aux allures un peu rock est structurée en trois couplets dans lesquels hommes et femmes se répondent à l’unisson jusqu’à partager quelques mots à trois voix en homophonie pour témoigner de leur exaspération envers leurs belles-mères. Les trois refrains sont structurés à l’identique avec des alti et des hommes qui installent sur des "dm" un climat menaçant permettant aux sopranes d’énumérer différentes listes d’idées pour tuer leurs belles mères, suivies d’une succession de "Ta mère" qui se répondent en crescendo. Le pont et la coda (qui utilise les mêmes lignes mélodiques que les refrains) sont sans difficultés particulières. Cette harmonisation permettra ainsi à chacun de s’amuser avec le texte une fois celui-ci intégré.