Figurant sur son troisième album « Un jour comme aujourd’hui », ce tube est une déclaration d’amour faite par l’auteur-compositeur-interprète Bergeracois, non pas à une femme comme on pourrait le croire à la première écoute, mais au Bassin d’Arcachon et plus particulièrement à l’île aux Oiseaux. Sur un air pop, accompagné de chœurs vaporeux, celui que l’on surnommera beaucoup plus tard « Captain Samouraï Flower » dresse un paysage enchanteur de ce coin qui lui tient si à cœur, en nous assénant des coups de « tuduptuptu ».
 

Mais saviez-vous que cette pièce maîtresse de l’œuvre de l’homme au sourcil rasé a failli ne pas voir le jour ? Plus exactement, cette chanson devait à l’origine s’appeler J’ai vu Jérusalem. Sur des conseils bien inspirés lui prodiguant de parler de ce qu’il connaît, Obispo retient la leçon de sincérité et voit juste, en consacrant ce titre à l’endroit dans laquelle il se mariera des années après.
 

Fin aout, l'équipe artistique de l'édition 2016 du Grand choral au grand complet s'est réunie pour affiner le scénario de ce spectacle unique... Cette année, sur un arrangement de Brice Baillon, le Grand chœur s’emparera de ce titre à la façon doo-wop qu’avaient les Platters d’interpréter The great Pretender !  Autant vous dire que le public devait recevoir une bouffée d’amour, un peu iodé, en plein visage !

 

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Article de Florent Payelleville
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